Analyse approfondie des prix de l'immobilier dans les 5ème, 6ème et 7ème arrondissements de Paris –

Il n’est pas nouveau que les prix de l’immobilier à Paris augmentent, avec un prix moyen au mètre carré supérieur à 10 000 € dans plus de la moitié des 20 arrondissements parisiens. Il est toutefois intéressant de noter qu'il existe des disparités de prix entre les petits arrondissements situés dans chaque arrondissement. Dans cet article, nous zoomons sur les 5ème, 6ème et 7ème. Les quartiers les plus chers de Paris, ces arrondissements de la rive gauche, ne cessent d'attirer les familles fortunées, les acheteurs internationaux fortunés et les investisseurs.

Le 5

Ce graphique détaille le prix moyen au mètre carré en euros d'un appartement au 5ème mars 2019, ainsi que le pourcentage d'augmentation de ce prix sur 5 ans.

Bénéficiant de petits espaces (représentant 60% de l'offre immobilière ici) et de grands appartements bourgeoise 5ème arrondissement attire des investisseurs désireux de capitaliser autant sur la population étudiante de la région que sur les familles aisées. Fort de son sens de l'histoire et de ses deux parcs (le Jardin des plantes et le Jardin du Luxembourg), le 5ème a vu ses prix augmenter de près de 8% en 2018, selon MeilleursAgents. Le prix moyen actuel par mètre carré est de 11 830 €.

«Les prix ici sont très élevés. Nous sommes sur le point d'atteindre un prix moyen au mètre carré de 13 000 € pour les biens de luxe de toutes tailles, avec une demande qui reste toujours forte », note Patricia Cariou, directrice de Monge Patrimoine.

La Sorbonne

Le quartier de la Sorbonne s'étend du Panthéon au Jardin du Luxembourg. Dans cette zone privilégiée par les touristes, le prix d'un appartement se situe actuellement autour de 12 290 € / m², après une augmentation de plus de 4% en 2018, selon MeilleursAgents.

UNEBien que quelques grands appartements restent à gagner, le marché est principalement animé par les petits studios très prisés des investisseurs. Rue Saint-Séverin, un espace de 21 m² récemment vendu pour 250 000 €, soit un peu moins de 12 000 € / m2.

Plus près de la Seine, les prix continuent d'augmenter. «Si un espace est vraiment haut de gamme, nous pouvons demander plus de 14 500 euros par mètre carré», ajoute Patricia Cariou.

La gare d'Austerlitz et le Jardin des Plantes

Bien qu’il s’agisse du quartier le plus abordable du 5ème arrondissement, il faut en moyenne plus de 10 000 euros par mètre carré pour effectuer un achat entre la Sorbonne Nouvelle et la gare d’Austerlitz. «La zone autour de la station évolue et de nombreux investisseurs y cherchent un meilleur rendement locatif», explique Patricia Cariou.

Les grands appartements sont toujours particulièrement recherchés, ce qui augmente les prix dans la région. Un appartement de 83 m² rue de Vésale a été vendu 1 200 000 €, soit plus de 14 000 € / m².

Lutèce et Val-de-Grâce

Dans la région de Saint-Victor et du Val-de-Grâce, le marché a été revitalisé ces deux dernières années, avec des hausses de prix de plus de 9%. Non loin des Arènes de Lutèce, cette région continue d'attirer des acheteurs appréciant sa riche histoire. Sur la rue Linné, un appartement de 5 chambres de 114 m² a été vendu pour 1,15 million €, ce qui est inférieur à la moyenne de 11 640 € / m² dans cette zone. La même tendance a été constatée dans le Val-de-Grâce voisin, bien que des disparités aient été observées, le prix au mètre carré pouvant atteindre 14 000 € à mesure que l’on se rapproche de la rue d’Ulm.

Le 6

Ce graphique détaille le prix moyen au mètre carré en euros d'un appartement au 6ème mars 2019, ainsi que le pourcentage d'augmentation de ce prix sur 5 ans.

Le 6ème est l’arrondissement le plus cher de Paris. Le prix moyen d'un appartement ici est d'environ 13 700 € / m², en hausse de 3% par rapport à 2018, selon MeilleursAgents. Il n’est pas rare cependant que les propriétés dépassent 25 000 € / m² sur ce marché saturé, où la concurrence entre acheteurs augmente les prix. «C’est un lieu privilégié qui attire de riches étrangers et des personnes travaillant dans le secteur des finances et des affaires. Il est rare que les premiers acheteurs s’y retrouvent», note Inès Fonteneau du Féau Saint-Germain.

Holding de Saint-Germain-des-Prés

Bien que les prix dans le secteur du 6ème de Saint-Germain-des-Prés n'aient augmenté que de 1,4% au cours de la dernière année, ils sont parmi les plus élevés de la ville. Le prix au mètre carré dans ce quartier avoisine les 14 500 €, ce qui en fait le troisième plus cher de la capitale. De plus, deux des cinq rues les plus chères de Paris se trouvent dans ce quartier: la rue de Furstemberg et la rue de l’Abbaye. Le long de ces rues, les acheteurs intéressés peuvent s’attendre à ce que les prix commencent autour de 20 000 euros / m².

Entre temps, sur la place Saint-Germain, un appartement de 126 m² offrant une vue sur l'église Saint-Germain a été vendu à un acheteur étranger pour un montant supérieur à 28 500 euros / m². «Ce quartier a toujours été un lieu de prédilection pour les acheteurs internationaux», explique Inès Fonteneau, «Saint-Germain est ce à quoi ils pensent lorsqu'ils fantasment sur Paris».

Odéon, un micro marché de l'immobilier de luxe

La présence du Jardin du Luxembourg, situé au cœur du 6ème arrondissement de l’Odéon, a entraîné une augmentation des prix de l’immobilier entre le boulevard Saint-Germain et la rue d’Assas. Avec un prix moyen au mètre carré pour un appartement d'environ 14 430 €, cet arrondissement est le 5ème plus cher de la capitale.

Rue Guynemer, un appartement de 126 m² situé au 5ème étage d'un immeuble de style haussmannien offrant une vue imprenable sur le Luxembourg a été vendu pour plus de 4 millions €, soit près de 33 000 € / m². «La taxe sur la fortune immobilière n'a pas été un obstacle pour les acheteurs, toujours encouragés par les bas taux d'intérêt», analyse Inès Fonteneau. "La propriété continue de se présenter comme un investissement sûr pour les investisseurs et les familles."

Notre-Dame-des-Champs: le plus abordable

Notre-Dame-des-Champs n’est toujours pas à la portée financière de tous. Les prix ont augmenté de 10% au cours des deux dernières années, le prix moyen au mètre carré oscillant actuellement autour de 12 800 euros / m².

Avec plus de boutiques et de devantures que ses secteurs voisins, Notre-Dame-des-Champs doit son dynamisme aux deux grandes rues qui la traversent: la rue de Sèvres et la rue de Rennes. Rue de Rennes, un appartement de quatre chambres de 95 m² s'est vendu à 1,4 million € (14 000 € / m²), bien au-delà du prix moyen au mètre carré.

«C'est un quartier privilégié par les familles pour ses nombreuses écoles et ses espaces verts», détaille Inès Fonteneau. C’est également un domaine dans lequel les familles n’auront pas de mal à trouver des appartements plus grands. Sur le boulevard Raspail, un appartement de 173 m² au 6ème étage a été vendu pour plus de 2,8 millions €.

Le 7

Ce graphique détaille le prix moyen au mètre carré en euros d'un appartement au 7 mars 2019, ainsi que le pourcentage d'augmentation de ce prix sur 5 ans.


Abritant ambassades, bâtiments ministériels et musées et sites culturels de renommée mondiale, le 7ème se vante d'un marché immobilier varié, comprenant autant de petits appartements que de grandes unités. Cette zone attire des familles fortunées et des acheteurs étrangers prospères dans l'espoir de tirer parti du solide potentiel d'investissement offert par la 7ème offre.

«Depuis fin 2018, nous avons constaté un intérêt accru pour le 7ème anniversaire du Brexit avec le retour des citoyens français d’étrangers disposant d’un budget élevé», analyse Dominique de Saint Priest, de l’agence Era Saint Priest.

La Tour Eiffel: l'étoile du 7ème

Bien que le prix moyen au mètre carré dans cet arrondissement avoisine les 13 300 €, certaines propriétés de luxe se vendent jusqu'à 30 000 € / m2, surtout ceux avec vue sur la Tour Eiffel, qui peut automatiquement doubler, voire tripler, le prix. Sur le Champ-de-Mars, un Appartement de 191 m² vendu 3,7 millions €, bien plus que 18 000 € / m2.

Le gros caillou

Selon MeilleursAgents, les prix ont augmenté de plus de 9% en deux ans dans le Gros Caillou. «Cette augmentation n’est pas inquiétante, explique Dominique de Saint Priest, car la présence de clients internationaux contribue à la vitalité du marché.»

École Militaire

Près de l'École Militaire, les prix sont un peu plus abordables. D'après MeilleursAgents, ayant augmenté d'environ 5% au cours des deux dernières années, le prix moyen par mètre carré a été plafonné à 13 000 €. Toutefois, les ventes dépassant cette moyenne ne sont pas rares: un appartement de deux pièces de 33 m² rue de l’Olivet a été vendu pour 550 000 euros (environ 16 700 € / m²).

Propriétés de luxe autour des Invalides et de Saint-Thomas d’Aquin

Entre ses boutiques haut de gamme comme Le Bon Marché et le nouveau Beaupassage, et ses sites culturels, tels que le musée Maillol et le Palais Bourbon, les secteurs Invalides et Saint-Thomas d’Aquin du 7ème rayonnent de luxe. Les biens situés dans ces deux zones ont rarement une valeur inférieure à leur moyenne de 14 000 € / m².

Sur les grandes avenues, les appartements vendus pour plusieurs millions d'euros ne sont pas nouveaux. «Les petits appartements ne connaissent pas non plus de très longues périodes de marché», précise Dominique de Saint Priest. Rue de Verneuil, près de l'ancienne résidence de Serge Gainsbourg, un appartement de 31 m² a été vendu récemment pour 485 000 € (15 645 € / m²).

Sources: Immobilier Paris: le charme latin du 5e ne faiblit pas; Immobilier Paris: les disques du rare et (très) cher 6e; Immobilier Paris: le 7e, coqueluche des étrangers

Photo de couverture: “Paris – Rue Jacob” de Fred Romero est sous licence CC BY 2.0

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Paris continue d'attirer le siège de sa société –

Paris attire de plus en plus de sièges sociaux et continuera à le faire, en grande partie grâce au Brexit. En 2018, plus de deux millions de mètres carrés d'espace de bureau ont été achetés dans la capitale.

Les volumes de bureaux vendus en Île-de-France atteignaient près de 2,54 millions de mètres carrés à la fin de 2018. Un chiffre «14% supérieur à la moyenne des dix dernières années», déclare Philippe Perello, PDG de Knight Frank France. Bien qu’un chiffre impressionnant, ces 2,54 millions d’euros ne sont pas loin des 2,56 millions de mètres carrés vendus en 2017. Seules six ventes à grande échelle (locaux de plus de 20 000 m²) ont été finalisées en 2018, tandis que dix ventes à grande échelle ont eu lieu en 2017, dont deux ont fourni 150 000 m² à eux seuls, pour un total de 2,56 millions d'euros.

Dans le même temps, la croissance a été négative dans les banlieues nord de Paris (-50%) et à La Défense (-24%). Cet effet de centralisation, combiné à la rareté de grands locaux, a poussé les prix et les offres à la hausse, sur des surfaces de plus en plus grandes. Par exemple, la société de conseil en informatique Murex a loué l’immeuble «Freedom» de 16 600 m² dans le 17ème arrondissement, tandis que la Banque Lazard a élu domicile dans les locaux de 11 000 m² de «173 Haussmann» dans le 8ème arrondissement. Chaumet, Freshfields, Diot, Moët Hennesy, Publicis Media, Lacoste et Leboncoin sont d’autres grandes entreprises qui s’emparent de grands espaces de bureaux dans la capitale.

La lutte pour l'espace dans la capitale

Les grandes sociétés de conseil, les marques de luxe et les institutions financières sont confrontées à la concurrence de nouveaux venus dans le monde des affaires, tels que ceux de la technologie et du coworking, qui sont également à la recherche de locaux plus grands. Les espaces de coworking représentent à eux seuls un quart des ventes à Paris en 2018 (et jusqu'à 40% des ventes dans certains arrondissements). Non seulement le nombre de transactions a augmenté, mais la superficie moyenne de ces locaux achetés a également augmenté de manière significative, passant de 1 500 m² en 2015 à plus de 4 000 m² aujourd'hui.

En conséquence, les loyers continuent de grimper dans le quartier central des affaires de Paris (les 8, 9 et une partie du 17), où le prix au mètre carré s’élève désormais à 840 € / an, soit une augmentation de 4% sur un an. Selon Philippe Perello, cela ne devrait pas changer, car "plusieurs facteurs de soutien demeurent répandus" dans ce secteur, notamment le Brexit et l'innovation numérique sur le lieu de travail.

Source: Paris attire toujours les sièges d’entreprise

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Les meilleurs spas et saunas de Paris –

À l’heure de la fin de l’hiver à Paris, il n’ya pas de meilleur moment que maintenant pour vous offrir une journée bien-être au spa. Que vous cherchiez à vous dorloter dans la chaleur d'un sauna pendant les journées ensoleillées de l'hiver ou à vous désintoxiquer après les vacances tout en poursuivant votre voyage de bien-être en 2019, Paris compte bien plus que sa part de spas, saunas et hammams pour répondre à vos besoins. Heureusement, doitinparis.com a réduit le choix pour vous, en arrondissant la liste des meilleurs établissements parisiens. Poursuivez votre lecture pour découvrir votre nouveau favori.

Les Cent Ciels

Spa soeur du très chic Les Cent Ciels à Boulogne, ce petit coin de paradis oriental s’avère être le séjour luxueux dont on a grand besoin pour tous ceux qui souffrent de ce blues hivernal. Ce traditionnel, 200 m2, le hammam aux chandelles propose un sauna, une piscine et un salon de thé, ainsi que leurs célèbres massages rapides (50 € pour 25 minutes) pour les personnes en déplacement. Les Cent Ciels est l’endroit idéal pour remonter le moral pendant les jours les plus gris de Paris et vous offrir un véritable voyage dans l’est.

Ce que nous aimons le plus: Les Cent Ciels est ouvert tard, jusqu'à 11h00 pendant la semaine de travail! Parfait pour ceux qui recherchent un peu de détente après une journée de travail tardive.

Les Cent Ciels, 7 rue de Nemours, 75011 Paris. Ouvert tous les jours, prix à partir de 40 € pour l'accès au hammam, au sauna et à la piscine.

Le Centre Naturellement

Entièrement dédié aux modes de vie sains, Le Centre Naturellement fait de son mieux pour réparer les dommages de la vie urbaine quotidienne en utilisant des pratiques de santé naturelles. Prenons par exemple leur rituel de désintoxication au sauna, qui suit à la lettre la technique scandinave. Selon cette méthode, les participants alternent trois séances de 15 minutes dans un sauna à 90 ° C, systématiquement suivies d’une douche froide et de 15 minutes de repos dans une salle réservée à cet effet. Les visiteurs se sentent frais et nouveaux de l'intérieur.

Ce que nous aimons le plus: Les autres forfaits détente proposés incluent la réflexologie, comme le Tui Na, ou enveloppement aux huiles essentielles.

Le centre naturellement, 83 bis rue la Fayette, 75009 Paris. Ouvert tous les jours, entrée au sauna à partir de 25 €

Les bains du marais

Entièrement refait et rénové, ce spa réputé du Marais a fait peau neuve. Les 70 m2 hammam traditionnel propose à la fois une salle chaude et une salle chaleureuse dans une atmosphère qui rappelle Les nuits arabes, le décor est plein de petites niches et d’arcs de couleur sable et terre cuite. L'espace est plus raffiné que jamais, comme le prouvent les nombreuses stars qui fréquentent le spa incognito, se sentant comme une pâquerette à la sortie.

Ce que nous aimons le plus: le délicieux restaurant méditerranéen juste à côté, ainsi que le salon de coiffure. Les clients repartent se sentant renouvelés de la tête aux pieds

Les bains du marais, 33 rue des Blancs Manteaux, 75004 Paris. Ouvert du dimanche au jeudi de 10h à 22h et les vendredi et samedi de 10h à 21h. Entrée au hammam avec un gommage corporel inclus à partir de 70 €.

Ladda

Le spa le plus secret de Paris, et pour cause: en entrant dans l’immeuble, seul l’ascenseur à gauche mène à Ladda. Une fois que vous avez atteint le septième étage, une dernière porte et quelques étapes finales sont tout ce qui vous sépare de la détente ultime. Les murs intérieurs sont recouverts de chaux minérale blanche naturelle. Une alcôve mène à six salles de massage privées, au hammam, à un salon en béton rempli de plantes luxueuses et à une terrasse donnant sur tout Paris où les visiteurs peuvent se détendre pendant les beaux jours. L'image du luxe absolu.

Ce que nous aimons le plus: des massages sur mesure sont disponibles à la réservation à 110 €. Laissez les masseuses professionnelles guérir les mains soigner vos points sensibles spécifiques et réaligner vos énergies.

Ladda, 32 rue de Paradis, 75010 Paris. Ouvert tous les jours de 11h à 20h. Entrée au hammam à partir de 30 €.

Le Tigre Marais

Outre ses cours de yoga et de pilates hautement spécialisés, le club de bien-être le plus chic de Paris, ouvert par Elodie Garamond, abrite un sauna infrarouge caché. Secret de bien-être dans le monde de la beauté japonais et scandinave, ce sauna infrarouge à 80 ° C permettra aux utilisateurs de se débarrasser plus rapidement des toxines.

Ce que nous aimons le plus: L'utilisation gratuite du sauna après tout cours de yoga ou de Pilates réservé à l'avance (32 € / cours ou 28 € / cours pour dix cours).

Tigre Marais, 11 rue du Perche, 75003 Paris. Ouvert tous les jours.

O'Kari

Ce petit et luxueux trésor de spa situé dans le quartier parisien de Montorgueil est sur toutes les listes des parisiens branchés. "Un hammam, mais mieux", est la philosophie de la créatrice d’O’Kari, Karima Lasfar. Pour mieux décrire son oasis apaisante, Lasfar poursuit en affirmant qu '«en partant, les clients sont complètement détendus et éprouvent une sensation de fatigue saine."

Ce que nous aimons le plus: La pause d’O’Kari, traitement d'une heure à 59 €, comprenant un bain de vapeur à l'eucalyptus, une exfoliation du corps entier et un lavage au savon naturel, un soin des cheveux et un soin fait à la lime.

O’Kari, 22 rue Dussoubs, 75002 Paris. Ouvert du lundi au samedi de 10h à 20h, fermé le dimanche.

Hammam Pacha

Hammam Pacha est un succès avec les parisiennes de la Rive Gauche depuis plus de trente ans. Réservée entièrement aux femmes et sans rendez-vous, cette maison de bain ultra-chic du 6ème s'est révélée être le lieu idéal pour se remettre dans le bain après l'excès des vacances. Le décor semble être sorti tout droit d'une rêverie orientale, avec un hammam traditionnel, des lavages de fleurs d'oranger et des enveloppements d'argile.

Ce que nous aimons le plus: terminer le hammam traditionnel avec une cire de miel, le meilleur soin des peaux douces, et aller au restaurant voisin où le tajine bio est à tomber par terre.

Hammam Pacha, 17 rue Mayet, 75006 Paris. Ouvert tous les jours, entrée au hammam à partir de 35 €

Villa Thalgo

Dans ce véritable temple de la beauté marine, le spa de la société Thalgo est l’un des espaces les plus uniques et exotiques du 16ème. En plus des massages luxueux et des forfaits de soins exclusifs, cette splendide villa abrite un hammam marin auquel nous pouvons accéder sans payer ni bras ni jambe. Ici, les avantages millénaires d'un hammam traditionnel et de la mer sont combinés pour une expérience de thalassothérapie unique, avec des vapeurs chaudes de sels minéraux et d'ions négatifs tonifiants, et des embruns marins, le tout dans un environnement complètement iodé. Au cœur du spa, une piscine d'eau douce est disponible pour détendre le corps.

Ce que nous aimons le plus: les prix! Une heure d'accès au hammam de la villa ultra luxueuse Villa Thalgo commence à 30 €.

Villa Thalgo, 8 avenue Raymond Poincaré, 75016 Paris. Ouvert tous les jours, une heure d'accès au hammam à partir de 30 €.

Source: Où sommes-nous un bon hammam ou un sauna chic à Paris?

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Innovations immobilières dans le 13ème arrondissement de Paris –

Avec de nombreux projets novateurs à l'horizon, le 13ème arrondissement de la capitale est un territoire prometteur pour les investisseurs.

Le 13ème est l’arrondissement le plus insolite de Paris. Entre les demeures historiques en pierre de taille de la Butte-aux-Cailles et les immeubles à l'américaine de l'avenue de France, le 13ème arrondissement offre différentes options aux acheteurs souhaitant investir dans la région. Parmi les nombreuses caractéristiques uniques du quartier, il en est une qui semble attirer l’attention de tous: les prix relativement bas de l’immobilier, selon les normes parisiennes bien sûr.

En moyenne, selon la plate-forme de données en ligne MeilleursAgents, les prix au 13ème se situent aux alentours de 8 623 euros par mètre carré. "L'arrondissement est divisé en deux parties", note Nicel Platero, président de la Fédération nationale des agents immobiliers du Grand Paris (Fédération nationale des agents immobiliers du Grand Paris). «Au nord, vers la Butte-aux-Cailles, les prix dépassent les 8 000 euros par mètre carré, alors que dans le sud, la moyenne est de 7 100 euros / m2. Cela signifie qu'il est encore possible de trouver un bien nécessitant des rénovations autour de 6 000 euros tout en bénéficiant de rendements monétaires intéressants, ces rénovations pouvant souvent être exemptes d'impôt. ”

Le 13ème est un arrondissement plutôt résidentiel, comme en témoigne sa densité de logement de 143 logements par hectare. Les appartements sont relativement récents, la date moyenne de construction des bâtiments étant 1966. Il convient également de noter que le rapport entre locataires et propriétaires est de 27 à 73, alors que ce même ratio dans l’ensemble de Paris est de 33 à 67. Malgré cette forte proportion de locataires, les petits appartements de moins de 40 m² ne représentent que 34% du parc immobilier total.

Il n'en reste pas moins que les prix grimpent, remarque Nathalie Latour, de l'agence immobilière ORPI Montsouris. «Les prix ont augmenté de 5% en un an et cette tendance ne s’arrête pas. Le changement est positif: j'ai récemment supervisé la vente d'un appartement pour un montant de 445 000 euros. Il y a deux ans, dans le même immeuble, un appartement similaire coûtait 420 000 euros », précise-t-elle. En dix ans, les prix au 13ème ont augmenté de 46%.

Terre d'innovation

Le 13ème est également l’un des rares quartiers de Paris proprement dit où nous pouvons encore construire à partir de rien. Chaque année, la ZAC (“zone d’aménagement concerté ”) Paris Rive Gauche fournit sa part de nouveaux biens. Dernier grand projet de développement urbain initié par Jacques Chirac, cette «zone de développement collaboratif» était autrefois occupée par des terrains industriels, dont certains ont été abandonnés. À l’heure actuelle, entre 3 000 et 6 000 nouvelles propriétés sont en construction, sur environ 130 hectares. Conçu pour la première fois au début des années 90, les constructions en question seront achevées d’ici à la fin de 2030.

Véritable laboratoire immobilier, la ZAC Paris Rive Gauche regroupe de nombreux programmes innovants, comme U-Care, du développeur français Altarea Cogedim. «Nous allons essentiellement créer des appartements de 3, 4 et 5 pièces à 12 000 euros par mètre carré dans ce bâtiment. C’est le produit de nombreuses réflexions sur l’idée de «décohabitation». Ici, il sera possible de séparer une des pièces de l'appartement afin de le louer, hébergeant un étudiant en quête d'autonomie, par exemple, ou une personne âgée », révèle Laurence Beardsley, présidente de Cogedim, métropole parisienne. .

Aujourd'hui, plus de 10 000 habitants vivent et prospèrent déjà à Paris Rive Gauche, bénéficiant du développement continu du quartier, de ses magasins et de ses services locaux (où travaillent environ 20 000 employés et 30 000 étudiants, professeurs, chercheurs et personnels administratifs). À long terme, vers 2028, ces chiffres devraient doubler, avec près de 20 000 habitants et 60 000 employés se croisant chaque jour.

Sources: Le Monde: Le 13e arrondissement de Paris, un laboratoire immobilier ; Guide immmobilier Orpi de Paris 13; Paris Rive Gauche: L’opération d’urbanisme

Photo de couverture de Guilhem Vellut de Paris, France [CC BY 2.0], via Wikimedia Commons

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Les projets de rénovation urbaine en France vont générer des investissements immobiliers en banlieue parisienne –

Les projets de rénovation urbaine en France sont devenus une priorité nationale, car les législateurs ont pour objectif de réduire le nombre de citadins habitant dans les banlieues. Le plan français «Action cœur de ville» allouera un budget de 5 milliards d’euros sur cinq ans pour améliorer les infrastructures et le développement commercial de 222 villes françaises de taille moyenne. Cela pourrait notamment profiter aux agences immobilières et aux investisseurs spécialisés dans l'immobilier commercial et résidentiel dans tout le pays, notamment en Île de France.

Un effet boule de neige

Le shopping est au cœur des préoccupations de revitalisation des centres-villes français. Depuis plusieurs années, les magasins de proximité situés dans les centres-villes sont contraints de concurrencer les grandes zones commerciales situées en dehors des villes, ainsi que les portails de vente en ligne. Avec la menace de faillite, de nombreux petits commerçants n'osent plus s'installer en centre-ville. Ce manque de devantures de magasins, ainsi que les emplois et les avantages commerciaux qui en découlent, mènent à une zone sans issue. Les acheteurs potentiels perdent de l'intérêt pour la région, ce qui nuit aux biens immobiliers résidentiels. Afin de stimuler les affaires, et donc l’immobilier résidentiel, le gouvernement français a mis en place son plan «Action cœur de ville» pour 222 de ses villes de taille moyenne, dont beaucoup se situent en banlieue parisienne.

Les groupes immobiliers sont bien conscients de la nécessité de réorganiser les centres-villes et n’ont pas hésité à faire des propositions. Quelque 90 membres de la Fédération nationale de l’immobilier (FNAIM) se sont réunis à Saint-Malo le 10 avril 2017 pour soumettre des propositions. concernant le développement des actifs commerciaux dans le centre-ville. En particulier, la FNAIM a proposé la création d’un bail commercial collectif dans plusieurs quartiers et petites villes affichant un taux de vacance supérieur à 10%. L’objectif serait d’aider les commerçants à poursuivre leurs activités et de faciliter la transition des nouveaux arrivants vers ces régions.

Mesures fiscales susceptibles de bénéficier au marché immobilier résidentiel

Le Sénat a également abordé la question en adoptant un pacte national visant à revitaliser 700 centres villes et villages laissés un peu négligés par la population (le Pacte national de revitalisation des centres-villes et centres-bourgs). Les sénateurs s'appuieraient notamment sur les taxes pour convaincre les résidents et les commerçants de revenir dans ces régions et de s'y installer. Parmi les mesures adoptées par le Sénat figurent la construction et la réhabilitation de logements dans les zones prioritaires de l’OSER (opérations de sauvegarde économique et de redynamisation), une réduction accrue de l'impôt sur le revenu (jusqu'à 75%) pour ceux qui offrent l'utilisation gratuite de l'espace aux associations, et la création d'un crédit d'impôt sur le revenu pour les coûts encourus lors de la rénovation de logements. Ces mesures fiscales, si elles étaient adoptées par l’Assemblée nationale, contribueraient certainement à ramener les particuliers dans les centres-villes.

Dans ce contexte, le plan «Action cœur de ville» est une opportunité pour les investisseurs immobiliers résidentiels et commerciaux qui se tournent vers la banlieue parisienne. Parmi les villes sélectionnées dans le cadre de cette initiative figurent Gonesse, Poissy, Sartrouville, Trappes, Rambouillet, Évry et Melun. Alors que le Grand Paris Express modifie notre façon de voir les villes situées en dehors de Paris, le programme de transformation «Action cœur de ville» devrait également avoir une incidence positive sur le potentiel d’investissement futur dans ces domaines.

Sources: Redynamisation des centres-villes: une réelle opportunité pour les agences spécialisées dans l’immobilier résidentiel; Programme «Action cœur de ville»: la grande transformation pour démarrer

Photo de couverture par besopha [CC BY-SA 2.0]

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Rénovations majeures de la Tour Eiffel avant les Jeux olympiques de 2024

Débordés par des mesures de sécurité renforcées, notamment l'installation d'une barrière de sécurité pare-balles, les abords de la Tour Eiffel ne sont pas particulièrement attrayants. Même avant d’atteindre la ligne infinie d’accès aux ascenseurs, les visiteurs doivent franchir les multiples barrières de construction qui entourent les quatre pieds de la «Dame de Fer». Sans parler de la circulation dans les rues environnantes, qui est plus encombrée que jamais. Nous avons du mal à imaginer que la tour brillera de toute sa splendeur, dans un environnement agréable et calme, avant les Jeux Olympiques qui se dérouleront dans la capitale en 2024.

C’est pourtant exactement l’ambition de la Ville de Paris, qui a lancé le projet «Grand site tour Eiffel: découvrir, approcher, visiter» en janvier dernier. En mai, les maires adjoints de Paris, Jean-Louis Missika (Urbanisme) et Jean-François Martins (Tourisme), ont dévoilé les quatre équipes finalistes retenues pour réimaginer le site de la Tour Eiffel.

Depuis des années, la ville de Paris et le Société d’exploitation de la tour Eiffel (SETE) ont délibéré sur le meilleur moyen d'accueillir les touristes venant découvrir ce site emblématique de Paris et de la France. Ce qui est différent cette fois, cependant, est que la délibération ne s’arrêtera pas sur les quatre piliers de la tour elle-même. Les équipes doivent élargir leur champ d'action pour inclure les alentours du site, du Trocadéro à l'École Militaire, du musée du quai Branly à Bir-Hakeim.

La Ville ne cherche pas d’exploration architecturale, comme la Pyramide du Louvre. «L'oeuvre architecturale est déjà là. Il ne s'agit pas de réinventer la Tour Eiffel, mais de la mettre en valeur en la connectant à son environnement », note Jean-Louis Missika. "Des études ont montré qu'une visite à ce monument ne se limite pas aux limites de ses dimensions verticales, mais commence dès qu'il est vu." En fait, pendant la haute saison touristique, environ 120 000 personnes par jour se rendent à la Tour Eiffel, alors qu’elles ne sont que 20 000 à 30 000 à l’élever. La plupart des gens sont donc heureux d’y marcher et de prendre une photo souvenir en chemin.

Equipes internationales et multidisciplinaires

Parmi les quatre équipes retenues comme finalistes du projet, deux sont dirigées par des architectes: le cabinet britannique AL_A Amanda Levete Architects et la société parisienne KOZ Architects; et deux sont dirigés par des architectes paysagistes, Gustafson Porter + Brown de Londres et l'équipe française TER. Tous les groupes, cependant, sont hautement qualifiés dans plusieurs disciplines de la sphère mondiale. Les architectes de TER ont notamment collaboré avec l'architecte italien Carlo Ratti, tandis que ceux de Gustafson collaboreront avec les urbanistes de l'agence Sathy, dirigés par le franco-coréen Tae-hoon Yoon. AL_A ​​travaillera en partenariat avec deux architectes en chef de Monuments historiques français et KOZ a recruté Junya Ishigami, l'architecte japonais réputé pour son style raffiné, respectueux des sites historiques.

«Au-delà de la dimension internationale, ce qui a retenu notre attention, c’est l’approche nuancée en matière d’intégration paysagère et urbaine que ces équipes ont pu démontrer au travers des références qu’elles ont mises en évidence, à savoir la capacité à s’adapter à un environnement complexe, à en comprendre le but, tout en respectant son importance patrimoniale », souligne Jean François Mangin, chef de projet.

Accès piétonnier

Les équipes doivent repenser la manière dont la tour Eiffel accueille les visiteurs, des stations de métro les plus proches du site à la place ouverte située sous et autour de la tour, en passant par les quatre piliers de la tour elle-même. Les équipes doivent également accorder la priorité à la simplification et à l’amélioration de la fluidité des files d’attente pour monter la tour, tout en réfléchissant à la manière de fournir des services et des installations, à des options de restauration et à la protection contre les intempéries.

Au-delà, le projet implique la création de nouveaux sentiers de randonnée comportant des centres d'accueil proposant des informations, des espaces de détente, des espaces de loisirs et des restaurants. Cela impliquera de repenser la circulation aux carrefours situés de part et d’autre du pont d’Iéna, désormais entièrement dédiée aux voitures, afin de fournir des voies désignées aux piétons ainsi qu’aux cyclistes, scooters, patins à roues alignées, etc. Cela pourrait signifier, comme le suggère un élu, d'ouvrir le tunnel situé sous le quai Branly au niveau du pont à ceux qui utilisent des modes de transport autres que les voitures. Certains vont même jusqu'à rêver de voir émerger de ce projet le plus grand parc parisien, avec une extrémité de chaque côté de la Seine.

Etant classés zones boisées, aucun projet de construction sur le Champ-de-Mars et les jardins du Trocadéro n'est possible. Cependant, l’idée ici est de restaurer la vie des nombreux pavillons historiques qui parsèment ces zones, avec l’aide de les architectes des bâtiments de france. De nos jours, ces pavillons, qui datent des années 30, sont plutôt négligés et pourraient être ré-imaginés pour accueillir de petites boutiques, des activités et des événements, ainsi que des popups saisonniers, facilement démontables au fil des saisons.

«L’objectif est de créer une expérience de visite vraiment unique pour les touristes en capturant leur attention dès qu’ils manifestent un intérêt pour la visite de la Tour Eiffel, vraisemblablement par le biais de recherches sur Internet, puis en proposant des visites informatives leur permettant de découvrir tous les sites historiques. richesse patrimoniale que cette attraction majeure a à offrir », explique Jean-François Mangin.

À tout le moins, «ce projet vise à redonner vie, cohérence et unité à ce site, qui consiste aujourd'hui en une attraction de grande taille, la tour, qui est entourée de rien d’autre. Mais l'objectif plus général ici est aussi de ramener les parisiens », note Jean-François Martins, adjoint au tourisme. Pour la Ville, qui a prévu un budget de 40 millions d'euros hors taxes pour le réaménagement, un indicateur du succès du projet ne serait pas tant une augmentation du nombre de touristes venant voir la Tour Eiffel, qui ne serait qu'un effet induit des rénovations, mais le retour des parisiens et des habitants du Grand Paris sur le site.

L'équipe gagnante sera sélectionnée en mai 2019 et le projet doit être achevé à temps pour les Jeux olympiques de 2024.

Source: Comment Paris veut «magnifier» la tour Eiffel

Les rénovations postérieures à la tour Eiffel qui devaient avoir lieu avant les Jeux olympiques de 2024 ont été publiées pour la première fois sur .

Printemps 2019 –

Après une année 2018 consacrée au cubisme à Pompidou et au surréalisme (Pablo Picasso, Joan Miró) au Grand Palais et au musée d'Orsay, comprenant des rétrospectives et des expositions thématiques sur Alphonse Mucha, Michael Jackson et Jean-Michel Basquiat, les musées parisiens poursuivent en 2019, après avoir préparé le printemps avec beaucoup de soin. Plusieurs collections de chefs-d'œuvre prêtés, exposées pour la première fois depuis des années en France, ainsi que de nombreuses rétrospectives uniques et diverses collaborations thématiques, se sont réunies pour créer une expérience passionnante et captivante des musées parisiens en 2019. Lisez à l'avance pour avoir un aperçu des expositions les plus prometteuses de la capitale.

LE MODÈLE NOIR DE GÉRICAULT À MATISSE

Edouard Manet, Olympia.

2019 au Musée d’Orsay sera une année multidisciplinaire: oLe 26 mars, le musée présentera Le modèle noir, une exposition questionnant la représentation des personnes de couleur dans les arts visuels, suivant leur traitement esthétique, de l'abolition de l'esclavage en France en 1794 aux temps modernes. L'exposition abordera également les questions politiques, sociales et raciales que les travaux de Théodore Géricault, d'Edouard Manet, de Paul Cézanne, d'Henri Matisse et de Nadar mettent en lumière. L'exposition se concentre sur le modèle et donc sur le dialogue entre l'artiste qui peint, sculpte, grave ou photographie et le modèle qui pose. Un pivot de réflexion audacieux et passionnant, en grande partie grâce à l’évolution et à la féminisation de la direction du Musée d’Orsay au cours des deux dernières années.

LE MODÈLE NOIR DE GÉRICAULT À MATISSE, Musée d’Orsay, 62 rue de Lille, 75007 PARIS. Du 26 mars au 21 juillet 2019.

L’ORIENT DES PEINTRES, DU RÊVE À LA LUMIÈRE

Le bain turc – Félix Edouard Vallotton

Les peintres européens ont longtemps fantasmé sur l'Orient avant de vivre la réalité à travers leurs voyages. Au début, la silhouette féminine de l'odalisque sensuelle a captivé ces hommes et confirmé leurs rêves éveillés. Plus tard, l'expérience rurale et les scènes de la vie quotidienne en plein air ont inspiré de nouvelles pratiques de peinture et provoqué l'émancipation de la couleur. Présentant 60 chefs-d’œuvre d’Europe et des collections publiques et privées les plus réputées des États-Unis, cette exposition vise à apporter une nouvelle perspective à cette tendance artistique.

L’ORIENT DES PEINTRES, DU REVE A LA LUMIERE, Musée Marmottan Monet, 2 rue Louis Boilly, 75016 PARIS. Du 7 mars au 21 juillet 2019.

LA COLLECTION EMIL BÜHRLE

Fichier: Pierre-Auguste Renoir, 1880, Portrait de Mademoiselle Irène Cahen d'Anvers, Sammlung E.G. Bührle.jpg

Pierre-Auguste Renoir, 1880, portrait de mademoiselle Irène Cahen d’Anvers

La collection Bührle est l'une des plus prestigieuses au monde. Cet ensemble, réuni entre 1936 et 1956 à Zurich, offre un panorama de l’art français du 19ème et du début du 20ème siècle. L'exposition explore plusieurs périodes de l'art moderne: impressionnisme (Manet, Monet, Pissarro, Degas, Renoir, Sisley), post-impressionnisme (Cézanne, Gauguin, Van Gogh, Toulouse-Lautrec), les Nabis (Bonnard, Vuillard), les Fauvistes ( Braque, Derain, Vlaminck) et l’École de Paris (Modigliani) en terminant par l’art de Picasso. Une exposition lourde, dense en histoire!

LA COLLECTION EMIL BÜHRLE, Fondation Dina Vierny – Musée Maillol, 61 Rue de Grenelle, 75007 PARIS. Du 20 mars au 21 juillet 2019.

CALDER – PICASSO

Alexander Calder et Pablo Picasso ont renouvelé notre perception. En explorant à la fois des thèmes figuratifs et abstraits, cette exposition étudiera l’utilisation de l’espace négatif dans les œuvres de ces deux artistes, dans leurs similitudes et leurs différences, et mettra en lumière la relation entre les deux hommes, leurs points communs, leurs rencontres, leurs talents artistiques. collaborations et l'exposition coordonnée de leurs œuvres. L'exposition proposera environ 150 œuvres, organisées de manière thématique et unifiées dans le cadre de l'étude globale du vide, afin de révéler certaines des lourdes tensions formelles et conceptuelles présentes dans les œuvres de ces deux artistes du XXe siècle.

CALDER-PICASSO, Musée Picasso 5 rue de Thorigny, 75003 PARIS. Du 19 février au 25 août.

VASARELY – LE PARTAGE DES FORMES

Victor Vasarely, Supernovae.

Au début du mois de février, le Centre Pompidou présentera la première rétrospective française consacrée au père de l’art optique, Victor Vasarely, depuis plus de 50 ans, en se concentrant sur toutes les facettes de son travail détaillé. Au cours de sa longue carrière, Vasarely n'a jamais cessé de jouer avec des illusions d'optique et différents médiums (peintures, sculptures, œuvres architecturales, publicités). Plus de trois cents œuvres graphiques et ludiques des années 60 et 70 seront exposées de manière chronologique et thématique, 56 ans après sa dernière rétrospective française au Musée des arts décoratifs, évoquant des moments importants de la vie de l'artiste, de sa formation sous la tutelle. de Bauhaus à ses dernières œuvres officielles

VASARELY – LE PARTAGE DES FORMES, Centre national d’art et de culture Georges Pompidou, 3 rue Beaubourg, 75004 PARIS. Du 6 février au 6 mai 2019.

Image de couverture: Marie-Guillemine Benoist, Portrait d’année. (Marie-Guillemine Benoist [Public domain])

Sources: Les 5 meilleures expositions à venir; Les expositions incontournables en 2019

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